Musique, cinéma, séries, livres...
Après "Présumé coupable", Vincent Garenq revient sur "L’affaire Clearstream" pour raconter les dix années d’enquête du journaliste Denis Robert, avec toutes les révélations et les rebondissements de cet incroyable mais passionnant imbroglio politico-financier.
A Most Violent Year, ou le rêve américain vu par J. C. Chandor à travers l'ascension d'un jeune businessman dans le New-York violent et corrompu du début des années 80. Convaincant.
Avec "Capives", Atom Egoyan signe un thriller atmosphérique à la fois sombre et lumineux, captivant et plutôt habile, porté par une mise en scène élégante.
Avec L'Homme de la montagne, le romancière américaine Joyce Maynard propose un thriller racontant la traque d'un tueur en série vue à travers les yeux d’une adolescente dont le père est chargé de l’enquête.
Un petit polar de série B prometteur sur le papier mais qui ne tient pas la distance, la faute à un scénario un peu brouillon et sans grande subtilité.
Juste avant les bilans de fin d’année, retour sur quelques films vus au cours de ces derniers mois au cinéma : Night Call, Magic in the Moonlight, Un illustre inconnu, Leviathan...
Après Kaboom, film trash et sexuel, mais très drôle et très plaisant, le réalisateur américain Gregg Araki revient avec White Bird, dans un genre proche de Mysterious Skin, un film qui avait scotché tout le monde en 2005.
Avec Paradise Lost, Andrea Di Stefano dresse le portrait de Pablo Escobar à travers l’histoire d'un jeune canadien embarqué bien malgré lui dans la folie meurtrière du célèbre baron de la drogue incarné de fort belle manière par un Benicio Del Toro.
Fidèle à l’esprit du polar noir américain à l’ancienne, Darwyn Cook, dans une bichromie toujours impeccable, nous concocte un aventure très typique avec tous les clichés et les rebondissements propres au genre.
Gone Girl : un film très sage, très poli, un bon gros blockbuster US signé david Fincher avec deux acteurs (Ben Affleck, Rosamund Pikesans) grand charisme.
