Musique, cinéma, séries, livres...
Avec Paradise Lost, Andrea Di Stefano dresse le portrait de Pablo Escobar à travers l’histoire d'un jeune canadien embarqué bien malgré lui dans la folie meurtrière du célèbre baron de la drogue incarné de fort belle manière par un Benicio Del Toro.
Un film qui embarque le spectateur dans la voiture, aux côtés des gitans, pour un rodéo à 100 à l’heure, entre western, polar et road-movie. Intense !
Le duo Julien Frey & Dominique Mermoux signe avec "Un jour il viendra frapper à ta porte", un roman graphique riche en émotions pour un moment de lecture aussi touchant qu’agréable.
Gone Girl : un film très sage, très poli, un bon gros blockbuster US signé david Fincher avec deux acteurs (Ben Affleck, Rosamund Pikesans) grand charisme.
Sur le papier, 3 coeurs promet une jolie histoire, un joli mélo, classique, mais à l’écran, raconté et filmé par Benoît Jacquot ça ne fonctionne pas vraiment.
Nettement moins intéressant que ne pouvait l’être "Tamara Drewe", "Gemma Bovery" est une variation autour du roman de Flaubert avec Fabrice Lucchini en chef d’orchestre.
Le sixième roman d’Eric Reinhardt nous plonge dans le quotidien, apparemment banal, d’une mère de famille en proie au harcèlement (im)moral de son mari.
Après le succès de "Retour à Cold Montain", l’auteur américain revient avec un roman dans lequel il dépeint une Amérique profonde où la beauté des paysages et l’immensité contraste terriblement avec la misère, le désespoir...
Dans une époque plus ou moins proche, la société se voit confrontée à un problème sanitaire grave : une épidémie due à un composant alimentaire a entrainé des déformations physiques chez de nombreux humains...
Petite revue post-estivale des films vus en salle en juillet et en août de cette année. Au programme du moyen, du bon et du très bon ! Comme quoi cinéma et été sont des mots qui vont très bien ensemble.
