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Critiques de romans et de bandes dessinées
Avec La Vallée, Arnaud Sagnard nous plonge dans la vie d'une jeune surdoué de l'informatique, parti de son Morvan natal pour aller travailler dans la Sillicon Valley. Un roman d'apprentissage intéressant mais pas totalement convaincant.
Une bonne cinquantaine de romans lus en 2024. Mes préférés sont signés Ted Conover, Bérénice Pichat, Etienne Kern, Gaël Faye, Farida Khelfa, Julia Deck, Abel Quentin, Philippe Jaenada, Sonia Kronlund, Jérôme Ferrari...
Avec Nord Sentinelle, Jérôme Ferrari nous raconte, dans un style aussi cinglant que délicieux, le destin d'une famille dans une île envahie par les touristes.
Avec son 2e roman, "Madelaine avant l’aube" (Prix Goncourt des Lycéens 2024), Sandrine Collette imagine un conte noir et cruel, porté par un style flamboyant.
Dans son second roman, Cabane, Abel Quentin nous raconte le destin de quatre scientifiques, auteurs d'un rapport qui aurait pu bouleverser le fonctionnement du Monde.
C'est un des textes les plus beaux de cette rentrée littéraire d'automne 2024. Il est signé Bérénice Pichat, et nous raconte la relation entre une gueule cassée et sa bonne.
Avec L’Impossible retour, Amélie Nothomb retourne sur les terres de son enfance nippone. Un récit charmant mais pas aussi passionnant qu'on l'avait espéré.
Après Blizzard, Marie Vingtras revient avec Les Âmes féroces, un thriller très efficace dont l'intrigue tourne autour de la mort mystérieuse d'une fille de 17 ans.
Après le formidable Mon mari, Maud Ventura s'intéresse cette fois au destin d'une femme qui va tout faire pour devenir une star. Un sujet intéressant, mais traité de manière peu concluante.
Avec Une trajectoire exemplaire, Nagui Zinet signe un premier roman très noir. Il y raconte, dans style singulier et percutant, la descente aux enfers d'un sale type. C'est du brutal.
