The substance, film (décevant) de Coralie Fargeat
Salué à Cannes par le Prix du scenario, The substance de Coralie Fargeat, déçoit dans ses grandes largeurs, avec un propos bien trop surligné et une mise en scène bien trop clinquante pour séduire.
Salué à Cannes par le Prix du scenario, The substance de Coralie Fargeat, déçoit dans ses grandes largeurs, avec un propos bien trop surligné et une mise en scène bien trop clinquante pour séduire.
C'est un des textes les plus beaux de cette rentrée littéraire d'automne 2024. Il est signé Bérénice Pichat, et nous raconte la relation entre une gueule cassée et sa bonne.
L'ascension de Donald Trump racontée dans un solide biopic signé Ali Abbasi. Un éclairage aussi édifiant que passionnant sur un homme qui a fait passer la politique américaine dans une autre dimension.
Au vu de mes attentes pour cette Palme d'or 2024 et un réalisateur dont j'ai beaucoup aimé les précédents films, Anora est une déception, sans être pour autant un mauvais film.
Lucie Prost nous entraine sur les pas de Léo, de retour dans le Doubs de son enfance. Un premier film singulier, qui embrasse plusieurs thèmes mais se perd un peu en route.
Netflix revient sur un des faits divers qui a bouleversé l'Amérique du début des années 90 dans une mini-série captivante.
Avec L’Impossible retour, Amélie Nothomb retourne sur les terres de son enfance nippone. Un récit charmant mais pas aussi passionnant qu'on l'avait espéré.
Même s'il n'est pas reparti de Cannes 2024 avec la Palme d'or, Les graines du figuier sauvage reste un beau et puissant témoignage de la révolte des femmes en Iran.
Après Blizzard, Marie Vingtras revient avec Les Âmes féroces, un thriller très efficace dont l'intrigue tourne autour de la mort mystérieuse d'une fille de 17 ans.
La mini-série documentaire DJ Mehdi, Made in France, sur arte, revient sur la carrière de ce petit génie de la production musicale, mort trop tôt à l'âge de 34 ans.