L'Histoire de Souleymane : Film choc de l'année 2024
Une plongé dans le quotidien de Souleymane, livreur sans-papiers. Un film saisissant, qui ne vous lâche pas durant 1h30. Du grand cinéma.
Pour son premier film, Julien Colonna raconte les règlements de compte mafieux en Corse, à travers le regard d'une jeune fille brillamment incarnée par Ghjuvanna Benedetti.
Une plongé dans le quotidien de Souleymane, livreur sans-papiers. Un film saisissant, qui ne vous lâche pas durant 1h30. Du grand cinéma.
Sans surprise, ni dans le forme ni dans le scénario, Juré n°2, le dernier Clint Eastwood s'avère bien décevant.
Salué à Cannes par le Prix du scenario, The substance de Coralie Fargeat, déçoit dans ses grandes largeurs, avec un propos bien trop surligné et une mise en scène bien trop clinquante pour séduire.
C'est un des textes les plus beaux de cette rentrée littéraire d'automne 2024. Il est signé Bérénice Pichat, et nous raconte la relation entre une gueule cassée et sa bonne.
L'ascension de Donald Trump racontée dans un solide biopic signé Ali Abbasi. Un éclairage aussi édifiant que passionnant sur un homme qui a fait passer la politique américaine dans une autre dimension.
Au vu de mes attentes pour cette Palme d'or 2024 et un réalisateur dont j'ai beaucoup aimé les précédents films, Anora est une déception, sans être pour autant un mauvais film.
Lucie Prost nous entraine sur les pas de Léo, de retour dans le Doubs de son enfance. Un premier film singulier, qui embrasse plusieurs thèmes mais se perd un peu en route.
Netflix revient sur un des faits divers qui a bouleversé l'Amérique du début des années 90 dans une mini-série captivante.
Avec L’Impossible retour, Amélie Nothomb retourne sur les terres de son enfance nippone. Un récit charmant mais pas aussi passionnant qu'on l'avait espéré.
Même s'il n'est pas reparti de Cannes 2024 avec la Palme d'or, Les graines du figuier sauvage reste un beau et puissant témoignage de la révolte des femmes en Iran.